Objet de mon affection (2020)
(exposition à la médiathéque de Pessac)
«Objet de mon affection» est un projet d'expérience et d'exposition photographiques proposé pour valoriser l'action culturelle de la médiathèque et leurs adhérents.La médiathèque est un lieu privilégié de rencontres. On y croise des personnes curieuses de savoirs et de culture, au milieu d'une myriade d'objets merveilleux - livres, magazines, cd, dvd...
Il est proposé aux visiteurs de choisir « l'objet de leur affection»: celui qui brille au firmament de leur imaginaire, directement connecté à un art, une passion, un loisir...
Ces volontaires de tous âges sont devenus des personnages, des acteurs de leur propre histoire, le temps d'une prise de vue. Le dispositif photographique évoque le théâtre, avec pour unique décor un vaste drap blanc tendu. Chacun est venu se présenter seul, devant l’objectif du photographe, selon un rituel immuable : un portrait en pied, frontal, cadré à la taille. L'objet tant aimé est tenu au niveau du ventre, en contact avec le corps, en résonance avec le cœur...
Les visages s'épanchent légèrement vers l'avant, telle une révérence, les yeux fermés. C'est bien un regard du dedans, une intériorité qui sont visés, ici. Il s'agit moins de «faire un portrait» que de fixer une intimité, d'évoquer un secret. Tout participe au sentiment d'une confidence.
Le moment de l'exposition sera l'occasion pour tous ces anonymes de la médiathèque de se rencontrer, de se raconter et d'échanger autour d'une passion dévoilée.
Il est proposé aux visiteurs de choisir « l'objet de leur affection»: celui qui brille au firmament de leur imaginaire, directement connecté à un art, une passion, un loisir...
Ces volontaires de tous âges sont devenus des personnages, des acteurs de leur propre histoire, le temps d'une prise de vue. Le dispositif photographique évoque le théâtre, avec pour unique décor un vaste drap blanc tendu. Chacun est venu se présenter seul, devant l’objectif du photographe, selon un rituel immuable : un portrait en pied, frontal, cadré à la taille. L'objet tant aimé est tenu au niveau du ventre, en contact avec le corps, en résonance avec le cœur...
Les visages s'épanchent légèrement vers l'avant, telle une révérence, les yeux fermés. C'est bien un regard du dedans, une intériorité qui sont visés, ici. Il s'agit moins de «faire un portrait» que de fixer une intimité, d'évoquer un secret. Tout participe au sentiment d'une confidence.
Le moment de l'exposition sera l'occasion pour tous ces anonymes de la médiathèque de se rencontrer, de se raconter et d'échanger autour d'une passion dévoilée.